ATHLÈTE SÉDENTAIRE qu'en pensez vous? texte à commenter

Avec un entraînement pointu, de bonne qualité, calibré, dans les conditions optimales mais représentant un faible cumul de durée, nous obtenons une condition physique sans précédent car artificielle, qui pourrait se définir par "être un athlète sédentaire"
"assez entraîné pour se faire mal, mais pas assez pour s'entraîner correctement"
l'athlète sédentaire à force de technicité dans les entraînements possède une forte puissance aérobie, de la force, la plupart de la qualité des athlètes spécialisées dans des épreuves assez courtes (moins d'une heure), mais il se fait mal pour un rien. Pour arriver au bout d'une saison sans "faire de la casse" il doit observer des précautions immenses pour ne pas se blesser à l'entraînement ou à la compétition, et est très exigeant sur le matériel, le terrain, les conditions: en bref, il est très fragile.
Un athlète non sédentaire au même niveau de performance se distingue simplement par des entraînements qu'il attaque directement sans même avoir besoin de s'échauffer, sa possibilité de faire des épreuves improvisée, son mode de vie avec beaucoup d'activité improvisées.
la différence principale, est que il cumule, en dehors des entraînements, divers mouvements qui renforcent son corps: de la marche, beaucoup de marche, du travail manuel, et autres activités d'endurance légère et varié, se cumulant à raison de 2 à 3h par jour, qui sont en général, totalement abolies de notre monde moderne par la présence de moteurs.
Un athlète peut monter a un niveau de performance supérieures en augmentant sa charge d'entraînement, et surtout, si il est non sédentaire et donc plus solide il a moins de contraintes lors des entraînements, et les épreuves longues sont possibles.
En conclusion, il existe, dans de domaine des compétitions de moins d'une heure, des athlètes pouvant être performant mais globalement sédentaires: ils ont le moteur, mais pas la carrosserie. (pour les épreuves plus longues c'est cette "carrosserie" qui est limitante, donc le risque d'être athlète sédentaire est moins fréquent dans les épreuves longues réellement préparées par du long)
L'athlète non sédentaire cours un risque curieux, surtout dans des domaines où l'on recherche la puissance aérobie maximale du genre records de l'heure ou courses de demi fond. En calibrant autant que possible ces séances d'entraînement, en recherchant des conditions optimales, il peut laisser tomber en se spécialisant tout ce qui "hors entraînement" lui prenait du temps, et de l'énergie qui nuisait à ces séances d'entraînement, mais le rendait solide. Il devient donc affûté, mais plus fragile!
L'athlète de très haut niveau est toujours assez fragile pour ces raisons. Cela se corrige donc en ajoutant des séances de renforcement musculaire et autres "correctifs"... on est alors très loin du naturel.
"assez entraîné pour se faire mal, mais pas assez pour s'entraîner correctement"
l'athlète sédentaire à force de technicité dans les entraînements possède une forte puissance aérobie, de la force, la plupart de la qualité des athlètes spécialisées dans des épreuves assez courtes (moins d'une heure), mais il se fait mal pour un rien. Pour arriver au bout d'une saison sans "faire de la casse" il doit observer des précautions immenses pour ne pas se blesser à l'entraînement ou à la compétition, et est très exigeant sur le matériel, le terrain, les conditions: en bref, il est très fragile.
Un athlète non sédentaire au même niveau de performance se distingue simplement par des entraînements qu'il attaque directement sans même avoir besoin de s'échauffer, sa possibilité de faire des épreuves improvisée, son mode de vie avec beaucoup d'activité improvisées.
la différence principale, est que il cumule, en dehors des entraînements, divers mouvements qui renforcent son corps: de la marche, beaucoup de marche, du travail manuel, et autres activités d'endurance légère et varié, se cumulant à raison de 2 à 3h par jour, qui sont en général, totalement abolies de notre monde moderne par la présence de moteurs.
Un athlète peut monter a un niveau de performance supérieures en augmentant sa charge d'entraînement, et surtout, si il est non sédentaire et donc plus solide il a moins de contraintes lors des entraînements, et les épreuves longues sont possibles.
En conclusion, il existe, dans de domaine des compétitions de moins d'une heure, des athlètes pouvant être performant mais globalement sédentaires: ils ont le moteur, mais pas la carrosserie. (pour les épreuves plus longues c'est cette "carrosserie" qui est limitante, donc le risque d'être athlète sédentaire est moins fréquent dans les épreuves longues réellement préparées par du long)
L'athlète non sédentaire cours un risque curieux, surtout dans des domaines où l'on recherche la puissance aérobie maximale du genre records de l'heure ou courses de demi fond. En calibrant autant que possible ces séances d'entraînement, en recherchant des conditions optimales, il peut laisser tomber en se spécialisant tout ce qui "hors entraînement" lui prenait du temps, et de l'énergie qui nuisait à ces séances d'entraînement, mais le rendait solide. Il devient donc affûté, mais plus fragile!
L'athlète de très haut niveau est toujours assez fragile pour ces raisons. Cela se corrige donc en ajoutant des séances de renforcement musculaire et autres "correctifs"... on est alors très loin du naturel.