Pareil, la réparation ne me sert qu’à rentrer, même si je roule tout à fait normalement que sur le plat / monté, pas en descente (mais pas à 15 km/h non plus, juste du freinage moins appuyé et pas au-delà de 40 plus ou moins quand c’est roulant…).
Les cartouches de CO2 ne m’ont jamais trahi… par contre une mini pompe oui ! Les joints avaient séché et la pompe ne gonflait plus rien. Pas moyen d’éviter le « taxi ».
Les cartouches vieillissent très bien. C’est l’embout dont il faut se méfier (a cause des joints en latex) et le le conserve dans une poche étanche qui reste à la maison (hors vélo) et que je change tous les 3 ans environs, même une fois jamais servi (zefal EZ control) pas cher léger, petit et très fiable. Une fois j’ai dû un peu insister pour percuter la cartouche mais c’est passé. Par contre le gonflage est immédiat sans effort et efficace. Après la confiance dans un système dépend de chacun et de sa pratique. La pompe en état ça marche aussi mais c’est plus encombrant et rappelons le on crève pas tous les jour sur la route (!) pour moi en moyenne moins d’une fois par an pour environ 8500 km annuels.
Je n’ai jamais eu d’appréhension avec le boyau de secours bien gonflé même si j’en conviens il ne s’agit pas d’attaquer en descente de col mais cela ne m’a jamais causé de pb. Je le constate aussi au démontage ou le peu de collage le temps de rentrer est effectif. Une fois par an je remets une couche de colle par précaution.
Seul le dégonflage me pose question sachant que j’ai déjà eu à reprendre le velo réparé après une pause de plusieurs heures (velotaf en l’occurrence). La crevaison avant causé une section intégrale du pneu causé par une bouteille en verre (une autre fois pareil avec une grille de couverture d’un caniveau). Avec une chambre à air ou une bombe de latex ou même avec un tubeless je ne serais jamais reparti. Le boyau de secour est à ce jour ce que j’ai eu de plus fiable, avec une réparation rapide et sans stress (sauf montage du conti sprinter voir plus haut).
Le principal pb est la double crevaison qui demande un matériel assez lourd et que je n’envisage pas, mais ça m’est déjà arrivé une fois (heureusement pas loin de chez moi). Je pense pour les grands parcours isolés à la bombe latex mais je ne l’ai encore envisagé. Quand je roulais en pneu j’avais une caa de secour, mais pareil, pas droit à deux fois… il restait les rustines, mais je n’en avais pas à l’époque
La seule question du moment reste pour moi le choix du boyau de secours. Un en latex (pour moins de disons 2 h pour entrer, 50-60 km à parcourir, c’est bon surtout avec deux cartouches) pourquoi pas mais pour moi ce n’est pas l’idéal.
En tout cas merci pour vos réponses.
Sportivement
Sermanvelo