rickyfirst a écrit:Tu peux acquérir une base foncière en donnant cette dominante pendant une période importante.
Par contre, je te conseille d'avoir également des entraînement soit techniques (force/vélocité) soit de fractionnés très court avec longue récupération pour ne pas te dieseliser
29er a écrit:Salut mmpopeur !
On te voit au roc ?
Je prendrai plutot le problème à l'envers : que faire pour ne pas trop perdre mon niveau en étant blessé à l'épaule ?
A mon avis il faut que tu manges du home trainer, avec du foncier si ca te fait défaut, et quelques scéances plus "qualitatives" pour garder tes capacités nécessaires en enduro.
Et après à la reprise du vtt de la muscu du tronc / bras
lpikachu58 a écrit:rickyfirst a écrit:Tu peux acquérir une base foncière en donnant cette dominante pendant une période importante.
Par contre, je te conseille d'avoir également des entraînement soit techniques (force/vélocité) soit de fractionnés très court avec longue récupération pour ne pas te dieseliser
+1 j'allais donner la même réponse.
mmpopeur a écrit:
Ok, il faut donc que j'intercale quelques sorties techniques.
Quid des périodes de reprise du rythme? Puis-je étirer le calendrier et les faire durer plus que d'habitude. Par exemple passer de 4 à 8 semaines
gester a écrit:C'est quoi le fond ??????
J'ai tendance, peut-être à tort, de traduire fond par endurance -> je manque d'endurance.
La définition scientifique de l'endurance est la capacité que l'on à de tenir un % donné de sa PMA durant un effort continu sur temps donné (très différent de la définition erronée du cyclo du dimanche qui est d'aller plus vite que son pote à la fin de sa sortie).
Un exemple, un gars avec une PMA de 200 W capable de tenir 180 W durant 1H30 est très endurant (mais pas puissant).
A l'inverse, un autre avec une PMA de 270 W capable de tenir 180 W durant 1H30 est peu endurant mais plus puissant.
En comparaison l'un par rapport à l'autre, le premier privilégiéra les efforts très longs pour faire la différence, le second visera plutôt le sprint.
Les 2 se feront de toute façon "manger" par un coureur de 300 W avec une endurance moyenne (240 W sur 1H30 env.) et penseront alors qu'il leur manque ce "fond" dont personne ne sait à quoi il correspond vraiment.
Pour compliquer encore un peu la chose, je n'ai pas encore vu d'étude sérieuse (mais je ne demande qu'à voir) montrant que l'on pouvait améliorer son endurance (la scientifique, pas l'autre !) par l'entrainement et que celui-ci ne jouait que sur la puissance.
Donc, sauf à vouloir faire des heures de selle peu ou pas "rentables" et plutôt que de faire du fond dont on se demande s'il sert sérieusement à quelques chose, fait plutôt des entrainements "puissance/ haute intensité / fractionné / PMA.../..." dont tu sentira les répercutions même sur les efforts de longue durée.
A mon avis qui ne vaut que ce qu'il vaut !
Sportivement
______________________
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gester a écrit:C'est quoi le fond ??????
J'ai tendance, peut-être à tort, de traduire fond par endurance -> je manque d'endurance.
La définition scientifique de l'endurance est la capacité que l'on à de tenir un % donné de sa PMA durant un effort continu sur temps donné (très différent de la définition erronée du cyclo du dimanche qui est d'aller plus vite que son pote à la fin de sa sortie).
Un exemple, un gars avec une PMA de 200 W capable de tenir 180 W durant 1H30 est très endurant (mais pas puissant).
A l'inverse, un autre avec une PMA de 270 W capable de tenir 180 W durant 1H30 est peu endurant mais plus puissant.
En comparaison l'un par rapport à l'autre, le premier privilégiéra les efforts très longs pour faire la différence, le second visera plutôt le sprint.
Les 2 se feront de toute façon "manger" par un coureur de 300 W avec une endurance moyenne (240 W sur 1H30 env.) et penseront alors qu'il leur manque ce "fond" dont personne ne sait à quoi il correspond vraiment.
Pour compliquer encore un peu la chose, je n'ai pas encore vu d'étude sérieuse (mais je ne demande qu'à voir) montrant que l'on pouvait améliorer son endurance (la scientifique, pas l'autre !) par l'entrainement et que celui-ci ne jouait que sur la puissance.
Donc, sauf à vouloir faire des heures de selle peu ou pas "rentables" et plutôt que de faire du fond dont on se demande s'il sert sérieusement à quelques chose, fait plutôt des entrainements "puissance/ haute intensité / fractionné / PMA.../..." dont tu sentira les répercutions même sur les efforts de longue durée.
A mon avis qui ne vaut que ce qu'il vaut !
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lpikachu58 a écrit:gester a écrit:C'est quoi le fond ??????
J'ai tendance, peut-être à tort, de traduire fond par endurance -> je manque d'endurance.
La définition scientifique de l'endurance est la capacité que l'on à de tenir un % donné de sa PMA durant un effort continu sur temps donné (très différent de la définition erronée du cyclo du dimanche qui est d'aller plus vite que son pote à la fin de sa sortie).
Un exemple, un gars avec une PMA de 200 W capable de tenir 180 W durant 1H30 est très endurant (mais pas puissant).
A l'inverse, un autre avec une PMA de 270 W capable de tenir 180 W durant 1H30 est peu endurant mais plus puissant.
En comparaison l'un par rapport à l'autre, le premier privilégiéra les efforts très longs pour faire la différence, le second visera plutôt le sprint.
Les 2 se feront de toute façon "manger" par un coureur de 300 W avec une endurance moyenne (240 W sur 1H30 env.) et penseront alors qu'il leur manque ce "fond" dont personne ne sait à quoi il correspond vraiment.
Pour compliquer encore un peu la chose, je n'ai pas encore vu d'étude sérieuse (mais je ne demande qu'à voir) montrant que l'on pouvait améliorer son endurance (la scientifique, pas l'autre !) par l'entrainement et que celui-ci ne jouait que sur la puissance.
Donc, sauf à vouloir faire des heures de selle peu ou pas "rentables" et plutôt que de faire du fond dont on se demande s'il sert sérieusement à quelques chose, fait plutôt des entrainements "puissance/ haute intensité / fractionné / PMA.../..." dont tu sentira les répercutions même sur les efforts de longue durée.
A mon avis qui ne vaut que ce qu'il vaut !
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Je pense que par fond notre amis entendait endurance de base (I1,I2).
Je suis complèement d'accord avec toi. Je rajouterais que même s'il désire bosser l'endurance de base pendant cette période, cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas bosser les autres capacité : force, vélocité, sprint + I3,I4 et I5.
mmpopeur a écrit:(...)
Lors d'un test à l'effort effectué en centre de cardiologie il y'a 3 ans j'arrivais à bloc à la puissance médiocre de 270 watts pour 70 kgs.
(...)
proracing a écrit:ben l'endurance est comme tu le dis le fait de tenir un % élévé de sa PMA pendant de longue heure.
Je fais un Cristalp à 82% de moyenne sur 10h10, j'estime avoir une bonne endurance. Maintenant avant lorsque que je courais en XCO je pouvais rouler à 90-95% pendant 1h
samueldenis a écrit:Pour moi, l'idéal serait :
- 2semaines à I1, tranquillement
- 2 semaines à I1 + Force à I2 + vélocité
- 2 semaines avec 2 sorties I1 et I2 avec des sprint et 2 avec force et velocité
- Ensuite, on peut ajouter de courtes périodes à I3 puis I4. Ces périodes s'allongeront jusqu'à 2 semaines des compétitions
- A ce moment, on y tape de la PMA
- Semaine de récupération et le dimanche la première course.
Ce cycle se ferait sur +/- 13 semaines.
proracing a écrit:ben mon calcul il deconne peut etre mais
mais si tu prends 168 puls moyenne sur 10h10
(168 / 205) * 100 = 82%
Juste ?
proracing a écrit:ben mon calcul il deconne peut etre mais
mais si tu prends 168 puls moyenne sur 10h10
(168 / 205) * 100 = 82%
Juste ?
gester a écrit:proracing a écrit:ben l'endurance est comme tu le dis le fait de tenir un % élévé de sa PMA pendant de longue heure.
Je fais un Cristalp à 82% de moyenne sur 10h10, j'estime avoir une bonne endurance. Maintenant avant lorsque que je courais en XCO je pouvais rouler à 90-95% pendant 1h
T'es soit bionique, soit robotique, soit sur-humain soit mythomane soit tu te trompe dans l'estimation de quelques chose (PMA ou puissance sur 10H10).
A toi de voir, mais jamais personne n'a, sur une 1H30, beaucoup dépassé les 90 % de sa PMA, 80 % étant déjà une bonne moyenne. 82 % sur plus de 10 heures, c'est dément !
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gester a écrit:samueldenis a écrit:Pour moi, l'idéal serait :
- 2semaines à I1, tranquillement
- 2 semaines à I1 + Force à I2 + vélocité
- 2 semaines avec 2 sorties I1 et I2 avec des sprint et 2 avec force et velocité
- Ensuite, on peut ajouter de courtes périodes à I3 puis I4. Ces périodes s'allongeront jusqu'à 2 semaines des compétitions
- A ce moment, on y tape de la PMA
- Semaine de récupération et le dimanche la première course.
Ce cycle se ferait sur +/- 13 semaines.
Quoi ???? 6 SEMAINES I1 OU I2 ??????... même pas quelques minutes de fractionné 1 ou 2 puls au dessus du mini de ta Fc de récupération ?????![]()
![]()
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C'est une plaisanterie ? Oui, voilà, une plaisanterie. OUF, j'ai cru que c'était un copié-coller de VELO 101 ou un programme pour un miraculé quadriplégique asthmatique cancéreux en phase finale qui, après 30 ans de chaise retrouvait l'usage de ces jambes.
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gester a écrit:proracing a écrit:ben mon calcul il deconne peut etre mais
mais si tu prends 168 puls moyenne sur 10h10
(168 / 205) * 100 = 82%
Juste ?
Ben voilà, tu confont juste PMA et Fc.... Rien de grave finalement. Je n'ose imaginer comment tu programme tes fractionnés.
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gester a écrit:C'est quoi le fond ??????
J'ai tendance, peut-être à tort, de traduire fond par endurance -> je manque d'endurance.
La définition scientifique de l'endurance est la capacité que l'on à de tenir un % donné de sa PMA durant un effort continu sur temps donné (très différent de la définition erronée du cyclo du dimanche qui est d'aller plus vite que son pote à la fin de sa sortie).
Un exemple, un gars avec une PMA de 200 W capable de tenir 180 W durant 1H30 est très endurant (mais pas puissant).
A l'inverse, un autre avec une PMA de 270 W capable de tenir 180 W durant 1H30 est peu endurant mais plus puissant.
En comparaison l'un par rapport à l'autre, le premier privilégiéra les efforts très longs pour faire la différence, le second visera plutôt le sprint.
Les 2 se feront de toute façon "manger" par un coureur de 300 W avec une endurance moyenne (240 W sur 1H30 env.) et penseront alors qu'il leur manque ce "fond" dont personne ne sait à quoi il correspond vraiment.
Pour compliquer encore un peu la chose, je n'ai pas encore vu d'étude sérieuse (mais je ne demande qu'à voir) montrant que l'on pouvait améliorer son endurance (la scientifique, pas l'autre !) par l'entrainement et que celui-ci ne jouait que sur la puissance.
A mon avis qui ne vaut que ce qu'il vaut !
gester a écrit:Vrai, l'endurance est sensé s'améliorer avec l'âge.... Mais je suis prêt à parier que c'est plutôt notre capacité à maintenir notre PMA qui baisse avec l'âge (d'où, effectivement et relativement, une endurance meilleure).
Certain explique également que, l'endurance serait lié taux relatif des types de fibre musculaire (blanche / rouge, rapide / lente....) propre à chaque individu pour expliquer les différences d'endurance (et comme les fibres rapides on également tendance à devenir lentes avec l'age, alors....).
A l'attention de MPOPEUR : sans vouloir encore en rajouter, je penche personnellement que tu ne manque pas de fond mais de puissance. Je me répète : on n'entraine pas son endurance mais sa puissance.
Ne fait donc pas de foncier qui sert à rien mais de la puissance (fractionné 30/30, 60/60, répétition PMA / 3 minutes et des exercices au seuil 5 / 10 / 20 minutes....) avec des exos force / vélocité pour le rendement de ton coup de pédale.
Le foncier est une notion qui n'existe que dans le cyclisme. En natation, aucun nageur ne coupe réellement et maintient son niveau de forme au maximum durant toute l'année, se bat pour ne pas le voir baissé à la fin de saison et essaye de se ménager 2 ou 3 pics de formes pour les évènements.
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duduche a écrit:On l'appelle comme on veut mais c'est une base.
Je suis d'accord pour dire qu'elle est bien souvent trop travaillée par les "anciens" qui ne font que de la bsse intensité jusqu'en février mis à part la prime imaginaire de Trifouillie les Oies les dimanches matins.
Gester, tu évoques le fait que les nageurs ne font pas de "foncier" au sens où les cyclistes l'entendent. Mais font-ils des courses de 6h ?
De même et dans un autre sport que tu aurais pu citer je pense que Bolt ne fait pas beaucoup de "foncier".
Mais les marathoniens de top niveau mondial, souvent plus en avance que les cyclistes sur l'entraînement, en font.
Ne faire que de l'intensité ne permet pas d'avoir des période de forme suffisamment longues. Tu peux avoir un pic (très court par définition) puis retomber très vite. Avoir un bon "foncier" permet de mieux récupérer et d'encaisser les périodes de travail intensif.
De même sur le vélo il permet de s'habituer à pédaler avec la fatigue, c'est à dire avec un geste technique moins bien coordonné.
C'est vrai le foncier se travaille mieux sur 4 fois 50 km dans la semaine que sur 1 fois 200 km. C'est donc aussi une question de régularité plutôt que de longueur de sortie.
Enfin, on peut prendre un exemple à l'extrême avec les participants aux épreuves ultra endurance (Hugues ou FK si vous nous lisez). Même si pour tenir sur un Paris-Brest-Paris il ne faut pas faire la distance de l'objectif à l'entrainement, il fait tout de même réaliser des très longues sorties.
Je devrais être très fort ? Hélas, non je me sens moins bien que quand je fais beaucoup plus de volume et moins de spécifique (j'en fais alors quand même).
gester a écrit:duduche a écrit:On l'appelle comme on veut mais c'est une base.
Je suis d'accord pour dire qu'elle est bien souvent trop travaillée par les "anciens" qui ne font que de la bsse intensité jusqu'en février mis à part la prime imaginaire de Trifouillie les Oies les dimanches matins.
Gester, tu évoques le fait que les nageurs ne font pas de "foncier" au sens où les cyclistes l'entendent. Mais font-ils des courses de 6h ?
De même et dans un autre sport que tu aurais pu citer je pense que Bolt ne fait pas beaucoup de "foncier".
Mais les marathoniens de top niveau mondial, souvent plus en avance que les cyclistes sur l'entraînement, en font.
Ne faire que de l'intensité ne permet pas d'avoir des période de forme suffisamment longues. Tu peux avoir un pic (très court par définition) puis retomber très vite. Avoir un bon "foncier" permet de mieux récupérer et d'encaisser les périodes de travail intensif.
De même sur le vélo il permet de s'habituer à pédaler avec la fatigue, c'est à dire avec un geste technique moins bien coordonné.
C'est vrai le foncier se travaille mieux sur 4 fois 50 km dans la semaine que sur 1 fois 200 km. C'est donc aussi une question de régularité plutôt que de longueur de sortie.
Enfin, on peut prendre un exemple à l'extrême avec les participants aux épreuves ultra endurance (Hugues ou FK si vous nous lisez). Même si pour tenir sur un Paris-Brest-Paris il ne faut pas faire la distance de l'objectif à l'entrainement, il fait tout de même réaliser des très longues sorties.
Je devrais être très fort ? Hélas, non je me sens moins bien que quand je fais beaucoup plus de volume et moins de spécifique (j'en fais alors quand même).
Tout un tas d'a-priori, de gros lieux commun, d'empirisme me semble-t-il désuet... Où sont les études scientifiques, les bases concrètes de ses affirmation ????? J'attend de voir.
Bon nombre de ses études montre que la performance d'un cycliste est fortement corrélée à sa VO2, sa VO2 max et sa PMA. Bon nombre d'étude montre que pour améliorer ces carractéristiques, il faut travaillé à ses niveaux d'intensité là.
A part pour le lambda moyen qui ne fait jamais de sport et pour qui les 100 m de marche jusqu'à la boulangerie représente un entrainement, il est aujourd'hui largement admis que, en dessous de 55 % de la VO2 d'intensité, l'entrainement n'à pas d'effet sur la VO2.
Non, les marathoniens ne font pas 3 semi-marathons par semaine pour s'entrainer et tout le "Ne faire que de l'intensité ne permet pas d'avoir des période de forme suffisamment longues. Tu peux avoir un pic (très court par définition) puis retomber très vite. Avoir un bon "foncier" permet de mieux récupérer et d'encaisser les périodes de travail intensif. " ne me parait basé sur aucun élément concret. C'est comme le fer dans les épinards.
Et pour tes "sensations", apprend a-t-en méfier. Je suis mes entrainements via la puissance réelle développé, et je peut te dire que le fait que mes sensations correspondent à la performance réelle depend vraiment du hazard.
Pire même, si je me sens bien, c'est souvent parce que je n'arrive pas vraiment à "taper dedans" et à sortir des watts. C'est souvent quand on souffre bcp et que paradoxalement les sensations sont "pénibles" et mauvaises parceque l'on met son organisme à la limite que l'on sort bcp de watt et que l'on bat des "records". Rien n'est plus trompeur que le compteur de vitesse de ton vélo !!!!
Entendons nous bien , c'est pas que je ne fait pas de foncier, c'est que j'en fait le moins possible et, en dehors de période de récupération, la limite basse des entrainements longs / basse intensité se situe au-dessus de 55% de ma VO2 (grosso-modo, pour moi, ça correspond un poil au dessus du seuil aérobie).
Bref, je place d'abord mes scéances PMA / VO2, puis mes scéances techniques force / vélocité, mes scéances récup et, s'il me reste encore du temps, ce fameux travail de l'endurance mais avec une intensité mini.
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