faber a écrit:Sans dire qu'un cadre "plante", on peut tout de même admettre que certains cadres sont plus éprouvants que d'autres pour un cycliste donné. Par exemple, quand on est fatigué, on ressent différement les irrégularités de la route.
Effectivement c'est une approche un peu moins extrême.
Le débat a été de nombreuse fois été abordé et je pense que la sagesse et l'humilité devrait nous dire que tous simplement le choix du cadre et de sa rigidité doit être fait en passant à ses capacités physiques (humilité) et sa pratique (temps d'utilisation).
Il s'agit en fait d'adapter le comportement de sa machine à ses capacités et sa pratique tous en pensant que le mieux est de préserver le potentiel physique de l'utilisateur. La préservation du potentiel physique passant par la connaissance de ses capacités.
Ou je rejoins la vision de Benj, c'est qu'effectivement un cadre rigide ne 'plante' pas.
En effet, l'on peut dire qu'un cadre rigide utilisé de façon euphorique par un utilisateur qui est au-dessus de son potentiel réel va altérer très vite le potentiel de l'utilisateur. Le résultat est que l'utilisateur sera sans force assez vite.